Informations sur le musée du Cayla

Ouverture et tarifs :

Le château-musée du Cayla à Andillac (81140) - Musée de France, Maison d’écrivains, Maison des Illustres - propriété du Département, est géré par l’Etablissement public du musée Maurice et Eugénie de Guérin qui a délibéré sur les ouvertures et tarifs 2016.

  • Une large place est faite aux groupes avec des demi-journées réservées et un nouveau tarif « prestation » qui leur ouvre, en plus de la visite du musée, l’accès aux espaces extérieurs et intérieurs pour des parcours nature, ateliers d’écritures, pique-nique, congrès, etc.
  • Le public individuel n’est pas pour autant oublié puisqu’il ne paie l’entrée au musée qu’à partir de 19 ans, qu’il bénéficie du tarif réduit s’il adhère à une structure conventionnée (voir administration), et de la gratuité le 1er dimanche du mois d’octobre à avril.

 

Contacts :

Musée : 05 63 33 01 68 (renseignements, expositions et animations, réservations, boutique)

Gardien : 05 63 33 90 30

Administration Etablissement public : musee.du.cayla@wanadoo.fr

Les Amis des Guérin (Journée Guérinienne le 17 juillet 2016) : 05 63 33 94 08

http://www.litterature-lieux.com

 

Mot du président du musée :

Venir au Cayla, c'est tomber sous le charme d'un lieu qui n'a rien perdu de son authenticité bucolique. Au cœur du vignoble et du département du Tarn, entre Cordes, Gaillac et Albi, l'humble gentilhommière languedocienne, née d'un relais de chasse du XVe siècle, frémit encore de l'invisible présence des écrivains. La brève existence de Maurice de Guérin (1810-1839), minée par la tuberculose, est éclairée par deux chefs-d'œuvre du poème en prose, Le Centaure et La Bacchante, révélés par George Sand en 1840 dans la Revue des Deux Mondes. Âme très torturée, comme bien des romantiques de son époque, il souffre du mal du siècle confié à son Cahier vert, journal intime des émotions et des pensées.

Sa sœur Eugénie (1805-1848) qui lui servit de mère, entretint avec lui une correspondance suivie. Elle écrivit spécialement à son intention un journal, mine de renseignements sur la vie au XIXe siècle dans la campagne tarnaise.

Alain Soriano.

Laisser un commentaire