l’Amitié Guérinienne – n° 191

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Conférence :Centenaire de la célébration du jeudi 18 juillet 1912 à la mémoire d’Eugénie et Maurice de Guérin.

Comment un petit curé de campagne de 34 ans a-t-il su rassembler autant de forces vives, de l’archevêque au préfet, de l’académicien au professeur de faculté, du majoral du félibrige aux présidents des sociétés savantes, et bien d’autres encore. Il est donc légitime qu’en 2012, cent ans après, nous nous penchions sur cet événement capital pour la cause guérinienne, d’autant plus que l’abbé Moisset a dû faire preuve de beaucoup d’obstination, de patience, de courage, de diplomatie. Nous nous intéresserons à la genèse du projet en soulignant le rôle éminent qu’il a joué. Nous nous pencherons ensuite sur les nombreuses difficultés qu’il a rencontrées mais qui n’ont pas réussi à le rebuter. Enfin, nous soulignerons le succès immense de cette journée en retenant seulement les temps forts pour ne pas alourdir le propos.
Compte-rendu de la séance du 21 juin 1912 de la Société des Sciences, Arts et Belles Lettres du Tarn.
La Société des Sciences, Arts et Belles-Lettres du Tarn a pris une part active dans l’organisation et la présidence des Fêtes d’Andillac et du Cayla du 18 juillet 1912.
Avec l’autorisation de la Société actuelle, nous transcrivons ci-dessous, une partie du compte-rendu de la séance du 21 juin 1912.
En effet, les débats de cette séance résument bien la participation de la SSABLT de l’époque et la distinction qu’elle souhaite faire entre les cérémonies religieuses et la séance littéraire de ces fêtes.

 Ouvrage de l’Abbé Moisset, compte-rendu des fêtes du 18 juillet 1912.

Discours de M. Anatole Le Braz.
Discours de M.Jean Aicard.

 

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Description

Éditeur Les Amis des Guérin
Parution Octobre 2012
Format 16×24
Nb pages 112 pages
Poids 300 gr
Prix 15 €
ISSN 0517-6247